La 'Safety Street' de Evonik à Anvers: pour une formation interactive et participative

Bonne pratique (business case)
L’entreprise chimique Evonik Anvers emploie plus de 1.000 travailleurs et collabore avec environ 250 contractants. L’installation ‘Safety Street’ de l’entreprise présente aux travailleurs et aux contractants, de manière simple et interactive, une méthode de travail encore plus sûre sur le site. Werner Van Acker, ingénieur chez Evonik, explique le concept.
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preventFocus 10/2022
article et photos fournis par Evonik Anvers

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L’approche scolaire, c'est fini

Enseigner les principes de sécurité et promouvoir régulièrement les comportements sûrs au travail est essentiel dans l’industrie de transformation. La sécurité est une priorité. Nous sommes tous d’accord sur ce point. Le problème, c’est que les formations existantes n’étaient pas suffisamment stimulantes. 
 
Werner Van Acker, ingénieur d’atelier et créateur de Safety Street chez Evonik Anvers: “Jusqu’à récemment, notre approche consistait à dispenser des formations de type scolaire. Les coordinateurs de formation et les supérieurs hiérarchiques faisaient des présentations avant le lancement de grands projets, pour les expliquer aux collaborateurs et aux contractants et illustraient leurs propos à l’aide de photos, de vidéos et d’instructions dans différentes langues. Le feedback donnait toujours le même résultat: c’est ennuyeux, les participants ont du mal à rester concentrés et il n’est pas certain que les collaborateurs allophones aient tout compris.”
 
“Nous avons alors décidé de rendre les formations plus actives – en complétant la théorie sur les masques à gaz par des exercices pratiques, par exemple. Cette initiative allait déjà dans le bon sens, mais il fallait aller encore plus loin. 
Nos collègues de BASF, ExxonMobil et Total nous ont offert l’opportunité d’examiner leur approche et de tirer des enseignements de leurs expériences. Nous avons ensuite demandé à nos coordinateurs de formation d’élaborer une proposition pour Evonik Anvers. C’est ainsi qu’est né le projet Safety Street.”

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